Attention, vous utilisez un navigateur obsolète ! Vous devriez mettre à jour celui-ci dès maintenant !

MORT AUX VACHES

Aurélien Ducoudray, François Ravard
Référence : 6949H
1996. Un quatuor de truands cambriole lagence bancaire à Clermont lAbbaye. Parvenant à échapper à la police, les voyous se mettent au vert en attendant que les choses se tassent. Ils cavalent jusquà lexploitation agricole de loncle de lun deux. Mais cétait sans prévoir la crise de la vache folle... La contamination de lépizootie est à son plus haut pic, et les gendarmes sont très nombreux à battre la campagne.
3 en stock
19,00
dont d'éco-contribution
-

Tarif par lot

  • -
    soit le lot
Caractéristiques
Auteur 20 x 27 cm - 112 pages
Conditionnement Aurélien Ducoudray, François Ravard

En 1996, un quatuor de truands cambriole une agence bancaire à Clermont l’Abbaye. Échappant à la police, les voyous se mettent au vert en se réfugiant dans l'exploitation agricole de l'oncle de l'un d'eux, en attendant que les choses se tassent. Cependant, leur plan tombe à l'eau en raison de la crise de la vache folle, avec l'épizootie à son apogée et une forte présence de gendarmes dans la campagne. Coincés dans leur planque, ils doivent supporter mutuellement la situation, entre rires et conflits.

Parmi eux, Ferrant, Romu, Cassidy et José forment un groupe hétéroclite : deux vieux gangsters homosexuels sur le retour, une nymphette et un monsieur muscle, tous coincés dans une ferme. Bien que le casse ait réussi, la vie de château n'est pas au rendez-vous pour ces associés malfaiteurs. Le vieux cousin Jacky, devenu éleveur bovin spécialiste en génétique, cache ses bêtes atteintes de la vache folle.

Avec des éléments tels que la nappe à carreaux, le Formica, le John Deere nid à rats et les ballots de foin nids à câlins, Ducoudray et Ravard explorent les clichés tout en jouant avec les codes du genre. "Mort aux vaches" adopte l'esthétique des storyboards des polars à l'ancienne, rendant hommage aux comédies policières des années 1970. Les dialogues ciselés et les décors soignés s'inspirent des références cultes d'Audiard et Lautner, faisant de "Mort aux vaches" un véritable hommage au cinéma noir.